La fille de mon patron et ses gros nibards

La fille de mon patron et ses gros nibards

Je suis chauffeur personnel d’un cadre important dans le CAC 40. Ce monsieur a une fille de 20 ans et j’entreprends des relations coquines avec elle. Je sais que je prends de gros risque en faisant cela, mais si vous voyez ses gros seins vous me comprendriez.

Elle m’a fait tout de suite bander dès notre première rencontre

Quand j’ai intégré mon poste, j’ai ramené mon patron chez lui et comme c’est un gentil homme, il m’a proposé de déjeuner avec eux. Quand soudain descendant de l’escalier une jeune fille portant une mini jupe noire et une chemise rose. Comme elle avait de jolies jambes et des gros boobs, je n’ai même pas pris le temps de regarder son visage. Avant de se mettre à table, elle m’a tendu la main et m’a dit bonjour. Et à part être incroyablement sexy, elle est aussi très belle. Pendant le déjeuner donc, la seule chose à laquelle j’avais pensé, c’est de la prendre sur la table et la baiser brutalement.

Après le repas, mon patron m’a demandé qu’il fallait maintenant partir, mais comme ma bite était encore très dure, ça se verra si je me levais. J’ai alors simulé un petit malaise afin d’attendre que mon sexe se ramollisse un peu.

La première fois où je l’emmenais faire ses courses

Accessoirement, à part conduire mon patron où il veut, je suis également au service de la famille. Sa fille m’a alors demandé de l’accompagner pour faire quelques courses. Et ce jour là, elle portait une petite robe et ça lui allait bien. Pendant le trajet, elle écarte souvent ses jambes sans se rendre compte je pourrais la voir à partir du rétroviseur.  En voyant sa petite culotte rouge, j’avais une grosse envie de me branler. A un moment comme j’étais concentré sur elle j’ai failli faire un accident.

On s’est rendu dans un magasin de lingerie

Quand nous sommes venus dans un magasin de lingerie, elle m’avait dit de l’accompagner. Une fois dans la boutique, elle faisait des tours pour voir des trucs qui pourraient l’intéresser. Elle a alors pris une petite nuisette noire et a demandé mon avis si ça lui irait bien ou non. J’ai alors pris un gros risque de lui dire : « peut être que si tu l’essayais il est plus facile s’il te va ou pas ». Elle m’a alors fait un sourire coquin et a répondu « ok ». Dans le vestiaire, elle m’a ensuite demandé de la voir et c’est là que j’avais eu une idée géniale. En effet, j’ai fait mine de lui dire que cette nuisette ne la convient pas trop, mais mieux vaut qu’elle essaie une autre. Elle a alors essayé plusieurs nuisettes et moi de mon côté je profitais de tout le spectacle. Après une demie heure dans la boutique, elle a finalement fait ses achats et on était rentré.

Le soir quand j’allais rentré chez moi, je roulais à 100 à l’heure, car j’avais très hâte de m’astiquer la bite après cet après midi passé avec la fille de mon patron.

Le lendemain, elle m’a demandé de me déshabillé

Le lendemain, je devrais en principe la ramener voir une copine. Et quand j’étais arrivé dans leur maison, elle m’a dit de me rendre dans sa chambre. Même si j’avais eu des pensées érotiques, je ne me doutais pas sur ce qui allait se passer.

Quand on était dans sa chambre, elle m’a dit : «  tu m’as vu en petite tenue hier, c’est maintenant à ton tour de te dévêtir ». Sur ces mots, j’avais beaucoup rougi, mais je me suis quand même tout de suite prêté au jeu. J’étais alors en caleçon et ma bite était très raide. Elle a alors fixé le bas de mon corps et m’a dit : « pourquoi ton sexe se dresse ? Est ce qu’il a envie de quelque chose ? ». Par rapport à ses mots, j’étais complètement figé, je ne savais pas quoi répondre. Elle a alors enchainé : « Ta bite souffre trop car elle est trop serrée, attends, je vais lui donner un peu d’air ». Après ces dires, elle a descendu mon caleçon a commencé par frotter mon sexe. Totalement excité, j’ai brutalement pris sa tête et l’a redirigé vers mon sexe. Elle m’a alors sucé la queue et quand elle était très mouillée par sa salive, elle a enlevé son tee-shirt, retirer son soutien et m’a proposé une belle branlette espagnole. Quelques minutes juste après, comme le moment était trop intense, j’ai fini par éjecter tout mon sperme sur ses gros seins. Elle a alors poussé un gémissement puis elle pris son tee shirt, s’est essuyé les seins et m’a demandé qu’il fallait partir car elle était pressée.

Je l’ai alors ramené chez sa copine, et quand on allait rentrer, elle m’avait dit de s’arrêter sur une aire d’autoroute. Une fois arrivée là, elle m’a dit qu’elle avait envie grave de baiser. On est alors sorti de la voiture, on s’est embrassé et je lui ai léché les seins tout en mettant ma main dans sa chatte. Par la suite, je l’ai retourné et je l’ai mis sur le capot de la voiture. J’ai baissé son pantalon et avant de la pénétrer, je lui ai léché la chatte et l’anus. Et durant ce moment, une chose m’avait intrigué, son cul sentait un peu mauvais, mais au lieu de me dégouter, ça m’a encore excité un peu plus. Une fois qu’elle était chaude comme la braise, j’ai enfoncé ma bite dans sa chatte. Comme je l’avais baisé si brutalement, elle n’a pas mis longtemps pour jouir. Après, avoir eu un orgasme elle n’a ensuite dit « assez pour ma chatte, occupes toi maintenant de mon cul ». J’ai alors mis de la salive sur son anus et je lui ai défoncé le cul. Et là encore nos ébats étaient très torride et elle a jouit une deuxième fois. Quelques secondes après, j’ai aussi éjaculé à mon tour. Après cette incroyable baise, on s’est allumé une clope puis je l’ai ramené.

 La fille de mon patron était devenue mon plan cul

On n’a pas attendu longtemps pour recoucher ensemble car le lendemain même, on a recommencé. Tous les jours donc, il nous arrivait de baiser 4 fois. La fille de mon patron fut alors devenue mon plan cul.

Un jour je lui ai demandé, où allait notre relation. Elle a répondu, qu’on n’irait pas plus loin que le sexe car elle est déjà fiancé à un homme d’affaire allemand. Même si je voulais qu’entre nous il y ait plus d’affinité, ça ne me fait rien car au moins je la baise. De plus, ce n’est pas une fille pour moi car nous vivons dans des milieux très différents.

Steve

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