Elle devient une obsession pour chaque homme qui croise sa route. Son parfum, ses longs cheveux bruns brillants, elle est mince et musclée, elle nous rend tous dingues.
On s’est rencontrés il y a deux ans
A mon travail, je ne savais pas quelle attitude adopter parce qu’il paraît qu’elle a la gifle facile, qu’elle est capable d’humilier le big boss en deux phrases et dix mots. C’est elle qui m’a parlé finalement. Évidemment je lui ai donné mon numéro, juste pour rendre mon collègue jaloux au début. Plus elle me résiste plus elle m’obsède.
J’ai l’habitude des petites cochonnes qui minaudent, disent que non et finalement oui. Des coquines françaises, bon restau et éjac faciale. Le lendemain on se raconte entre potes laquelle a la gorge la plus profonde. Cette fois je suis complètement perdu, elle n’entre pas dans mon domaine de compétence. J’essaie de l’ignorer, c’est pire et ça me fait flipper. Des fois, elle m’envoie un SMS et dit que c’était une erreur.
Il y a une tension violente entre nous comme deux aimants
Dès qu’on se trouve à moins d’un mètre l’un de l’autre. Un mélange d’attirance forte, de résistance. Un défi, presque un combat . Elle ne cède pas. Moi non plus. Je ne dors plus. Je compose son numéro à deux heures du matin mais je raccroche. Je pense à elle, étroite, le cul éclaté. Dans mes bras, contre le mur, sur le lit, partout. Je retrouve mes cochonnes habituelles si naïves.
Les fellations entre deux portes. Celles qui pleurent une semaine parce que je me suis servi d’elles et qu’elles m’aimaient. Je suis encore pire avec elles parce que je pense à elle. J’accumule les petites Françaises dévergondées et affamées partout, tout le temps, à n’importe quel prix en espérant l’oublier. Impossible. La garce.
