Lors de ma dernière promenade en forêt, je suis tombé sur une scène qui m’a paru indécente au départ, puis qui a éveillé en moi un profond désir enfoui. Une jeune femme, la vingtaine, en train de faire une gorge profonde à un homme. Un autre se tenait à leurs côtés et commençait à se masturber. Il alternait entre sa main et la bouche de la jeune femme qui s’occupait alors des deux hommes à la fois.
La scène m’a paru incongrue, mais impossible pour moi de détourner le regard de cette femme en train de sucer des queues. Le plaisir dégagé par les deux hommes en était le moteur. J’étais alors animé par le désir d’en apprendre plus sur cette suceuse hors pair, et j’étais bien décidé à participer, moi aussi, à ces fellations.
Lorsque je m’approchais, je compris que cette coquine était Anglaise car elle m’invitait à participer aux festivités par un « come on, boy ! » chaleureux.
Dominateur, je me proposais de la guider dans sa fellation langoureuse. Grâce à mes connaissances linguistiques et sexuelles, je lui ordonnais de me sucer en gorge profonde : « deepthroat ».
L’intérieur de sa bouche était à la fois chaud, doux et humide. Elle sut me sucer la queue comme personne ne l’avait fait avant. Elle put avaler la totalité de mon sexe sans le moindre effort, avec douceur et des sensations maximales, en ce qui me concerne.
Malgré la pluralité de cette expérience, je fus comme transporté de plaisir en continu, et j’eus l’impression, lorsque j’étais dans sa bouche, de me retrouver seul avec le plaisir personnifié.
Je ne pus compter les va-et-vient de sa bouche, mais lorsque je sentis le sperme s’échapper dans sa bouche chaude et douce, je ne pus retenir un « swallow, please » (Avale, s’il te plait). Elle le fit sans broncher, et non sans une once de satisfaction sur le visage.
Mes deux compères du début lui avaient déjà éjaculé dessus, ce qui me rappelait les bukkake que j’avais pu voir uniquement dans mes rêves les plus fous. Cette promenade restera à jamais plus intense que tous mes rêves.
