Qui n’aime pas le sexe ? Mais quand c’est trop excessif, ça pourrait créer des dépendances ou accoutumances. Quelles sont alors les formes d’addictions sexuelles qu’il faut absolument connaitre ? Est-ce que c’est dangereux ? Faut il traiter son addiction au sexe ou la laisser juste comme ça ?
Les cas d’addiction sexuelle les plus courants
L’addiction ou porno
Quand on regarde trop de porno, on peut entièrement se déconnecter de la réalité. Mais le problème, c’est que le porno n’a rien à voir avec une véritable vie sexuelle. De plus à cause des extravagances liées au film X, de plus en plus d’hommes sont complexés par leur physique et leur performance.
Si on revient sur l’addiction au porno, on peut dire que ce fléau est gradué. On peut par exemple commencer par en voir tous les jours, puis après deux fois par jour et à la fin, on ne peut penser qu’à ça. Outre l’accoutumance au porno en lui-même, il existe aussi des gens qui sont addicts d’une catégorie de porno en particulier. Et parmi le plus courant, on peut citer le BDSM et le fétichisme. Quand vous regardez trop des films pornos de ce genre, vous pourriez finir par être entièrement fasciner par ces pratiques pas trop commodes. A part le sadomasochisme, il y a aussi des personnes qui sont addicts à des catégories de filles en particulier (obèse, latine, asiatique, milf…).
L’autre problème avec le porno, c’est qu’il pourrait faire renfermer socialement une personne surtout si elle est célibataire. Si c’est votre cas donc, il faut prendre les choses en main rapidement car les conséquences pourraient être catastrophiques. En alternative au porno, si vous êtes un homme qui vit seul, faites surtout du sexcam ou show porno en ligne. L’avantage de cette pratique, c’est que vous avez une vraie interaction avec une femme. Pas seulement pour la baise donc, vous pouvez aussi dans la foulée demander quelques affections de leur part. Parmi les sites qu’on peut vous recommander il y a Porn.cam. En faisant un clic ici, vous pouvez voir une panoplie d’hôtesse qui propose des shows érotiques en solo. Selon vos fantasmes ensuite, vous pouvez guider leur mouvement faire toutes les choses qui vous enchantent.
L’hypersexualité : un choix ou une maladie ?
L’hypersexualité pourrait se décliner sous plusieurs formes. Chez la femme par exemple, il y a ce que l’on appelle la nymphomanie. Quand une femme est nymphomane, elle a constamment besoin de sexe. En solo ou avec plusieurs partenaires, tous les moyens sont bons pour elle d’assouvir ses désirs. Du côté des hommes, ce fait est aussi un peu courant. Outre sa partenaire donc, il pourrait chercher à avoir d’autres relations intimes avec d’autres femmes car cette dernière ne pourrait pas la satisfaire amplement. Enfin, il y a également la soif de nouvelle découverte sexuelle. Pouvant s’agir d’une seule personne, cette forme d’hypersexualité pourrait concerner un couple. Pour ce deuxième cas en particulier, comme le couple cherche tout le temps de nouveaux jeux pour pimenter leur relation, ils peuvent pratiquer l’échangisme, les orgies, ou les plans à trois. Jeu assez dangereux qu’on s’adonne souvent à ces pratiques, on peut finir par y devenir addict.
Concernant le fait si c’est une maladie ou non, on peut dire que l’hypersexualité est un fait social qui a commencé à apparaitre au début du XXIè siècle. Néanmoins, ce n’est pas une pratique toute nouvelle car dans le monde antique et plus précisément pendant l’époque romaine, l’hypersexualité est un fait très courant.
La dépendance sexuelle et affective
Contrairement à l’hypersexualité et l’addiction au porno, la dépendance sexuelle et affective est un peu particulière. En effet, la personne atteinte de ce fléau est complètement obsédé par le sexe. Ainsi pour lui, le sexe pourrait devenir un véritable rituel et c’est même un besoin vital. Mais attention tout de même, les addicts du porn et de l’hypersexualité pourraient aussi tomber dedans. Et quand cela arrive, il est très difficile de s’en sortir.
Faut il traiter une addiction au sexe ?
Si l’addiction engendre des problèmes sociaux et professionnels, il faut impérativement la traiter. Pour cela, deux options sont possibles. La première, c’est de soigner soi même et de chercher d’autre activité en dehors du sexe comme faire du sport ou pratiquer d’autres loisirs qui vous passionnent. Mais s’il n’est pas possible de se soigner soi même, il devient alors obligatoire de recourir à des thérapies. Pouvant durer plusieurs mois, la guérison dépend bien de la volonté de la personne à s’en sortir ou du niveau de gravité de son addiction pour le sexe.