Faire du sex cam a atténué mes addictions au voyeurisme

Faire du sex cam a atténué mes addictions au voyeurisme

addiction au voyeurisme

Sans me voiler la face, je n’ai pas honte de dire que je suis un pervers qui est addict au voyeurisme. Très excitant au début, cette accoutumance m’a ensuite conduit à des problèmes. Pour me soigner, un ami m’a recommandé de faire du sex cam et depuis, ça s’est calmé un peu.

J’étais d’abord un voyeur comme les autres

Ma voisine a oublié de fermer le rideau de sa douche, super ! Je vais en profiter pour la voir toute nue en douce tout en me masturbant. Qui ne fait pas ça ? Je n’irais pas jusqu’à dire que tous les hommes le font, mais la plupart quand même oui je pense. Mais pour être honnête, ce type voyeurisme n’a rien de bien méchant. Pour mon cas par contre, j’étais allez très loin. Au départ, je profitais juste des inattentions des femmes pendant qu’elles changent ou se déshabillent. Et plus je faisais ça, plus je devenais accros. Pour me soulager un peu, j’ai décidé de regarder des films porno, mais rien n’y fait ! Je regorgeais grandement de plaisir de voir en cachette des femmes nues et c’est là que j’ai commencé à faire des bêtises.

J’entrais par effraction chez les gens

Pour assouvir mes fantasmes, j’étais prêt à tout. Mais mettons d’abord avant de continuer, mettons les choses au clair, je suis un voyeur, mais pas un violeur ! Bon continuons ! Comme je pouvais faire n’importe quoi pour voir en cachette des femmes qui se changent ou qui font leur toilette, j’entrais parfois par effraction chez elles. Et pour mieux faciliter les choses, je ciblais mes voisines. Pendant toute une année j’ai fait cela sans me faire prendre. A part cela, j’installais aussi dans caméras cachées dans les toilettes publiques. Après un jour ou deux, je viens les récupérer et je regarde les vidéos chez moi tout en me masturbant durant toute la nuit. C’était vraiment magique ! Ces femmes qui ne se doutent de rien et qui descendent leur culotte pour pisser un coup, ça m’excite trop. Et pour ne pas trop prendre de risque, j’ai ensuite adopté la même stratégie pour mes voisines. Parfois, je passe même faire des visites de courtoisies pour mieux installer mes caméras. Après je repasse pour prendre les enregistrements et la suite vous la connaissez très bien.

Je me suis fait arrêter

L’hiver dernier, je me suis fait prendre en flagrant délit. Bien sûr, la femme n’a pas agi comme dans les films pornos où au lieu de crier, elle vous punit en vous baisant à mort. Malheureusement, elle a contacté la police et ma maison a fait l’objet d’une perquisition. En collaborant avec la justice, je suis sorti avec un sursis plus une obligation de passer une thérapie pour soigner mon addiction sur le voyeurisme. Depuis, je me suis soigné, mais pour tout vous dire, toutes ces séances n’ont servi à rien car j’avais encore très soif de regarder en douce des femmes.

Un ami m’a fait découvrir le sex cam

Très désespéré, il m’arrivait même de penser au suicide. Mais un ami m’a fourni un conseil très précieux auquel je n’avais jamais imaginé. Il m’avait dit que je pouvais réaliser mes fantasmes en toute légalité sur des sites de sexcam. Sans hésitez une seconde, je suis allé sur un site, et j’ai découvert qu’ils ont bien des hôtesses qui sont spécialisées dans le voyeurisme.

J’étais libre de faire ce que je veux

Avec le sexcam, je pouvais moi-même définir mon propre scénario. Par exemple, je peux demander à l’hôtesse de faire comme si je n’étais pas là tout en se déshabillant tranquillement. Très professionnelle, elle était capable de réaliser mon fantasme le plus fou. Et c’est encore rien car certaines hôtesses peuvent même se rendre dans les toilettes et faire ses besoins tout en continuant de faire tourner la caméra.

Pour ceux qui ont des addictions sur le voyeurisme comme moi donc, je leur recommande vivement de se rendre dans un site de sex cam au lieu prendre le risque d’avoir des ennuis juridiques en les observant en cachette à leur insu.

Steve

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