Je suis une jeune milf de 38 ans. Et mon penchant, c’est de me faire les mecs des autres. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne suis pas trop attirée par les hommes célibataires. Dans mon compteur depuis que j’entreprends des relations libertines, je me suis déjà fait plus d’une quarantaine d’hommes.
Je vous raconte mes liaisons avec mes premières proies
A 36 ans, j’ai officiellement divorcé avec mon mari. Après cette relation, j’ai pris la décision d’opter plutôt au libertinage au lieu d’une relation sérieuse. Comme je suis une milf assez attirante, très vite, je me suis fait draguer par des hommes. Mais je ne sais pas ce qui se passait dans ma tête car je ne suis attirée que par les hommes casés. J’ai alors suivi mon instinct et je me suis mise à la chasse des mecs des autres.
Arthur mon premier amant marié
Arthur a deux ans de moins que moi, mais il est très craquant. Sachant prendre soin de son corps, il est à la fois beau et musclé. Je l’ai d’ailleurs rencontré dans une salle de sport. Ayant eu quelques difficulté à utiliser des altères, Arthur m’a proposé son aide. Face à sa galanterie, j’ai tout de suite accepté son coup de main. Il m’a alors montré comment faire mieux soulever les charges. Après la séance, il m’a conseillé de faire quelques étirements. Et c’était très érotique car pendant qu’il dirigeait mes mouvements, ses mains touchent parfois mes fesses et mes seins. Ça m’a un peu excité car je n’ai pas eu de sexe pendant deux ans, mais je n’envisageais pas encore de coucher avec lui. Depuis ce moment, on était devenu des connaissances et quand il m’a appris qu’il était marié, j’ai tout de suite craquée pour lui.
Comme on s’entraine souvent ensemble dans notre salle de sport, il m’a proposé de faire une séance de cardio avec lui en plein air. On s’est alors fixé un rendez vous un samedi. Au tout début, tout se passait normalement. Mais quand on était arrivé dans un endroit tranquille, on a décidé de faire quelques étirements. Et c’est là que je lui ai fait des avances. Sans faire trop de blabla, je lui ai tout de suite sucé la bite. Et quand je l’ai vu sortir de son short, je n’étais pas du tout déçue car il avait une très belle trois pièces. Après lui avoir taillé la pipe, il m’a lubrifié la chatte avec sa bouche et il m’a mis en levrette. Avant qu’il vienne, je lui ai dit de me faire un cum face. Et c’est ce qu’il a fait ! C’était vraiment magique car c’est mon meilleur plan cul depuis plus de 5 ans.
On est resté amant pendant quelques mois, mais quand il était tombé amoureux de moi, j’ai décidé de rompre avec lui. Il m’aimait trop qu’il voulait se séparer de sa femme pour se mettre avec moi. Mais moi ce n’est pas mon but, j’aime juste me faire les mecs des autres, mais je n’en veux pas comme copain.
Didier était ma prochaine proie
Didier est mon collègue de bureau. Il n’est pas très beau, mais il me fascinait quand même. C’est le genre de mec qui ne se laisse pas facilement allumé. En effet, il est très fidèle envers sa conjointe. Au bureau, je lui parle un peu de truc coquin, mais ça ne lui faisait rien. Comme ça m’agaçait beaucoup, j’ai monté un plan pour le mettre dans mon lit. J’ai alors changé d’attitude et je ne lui parlais plus trop. A limite donc je l’ignorais presque. Face à cette indifférence, Didier commença à s’intéresser à moi ! Mais j’ai poussé le bouchon plus fort en l’ignorant encore plus.
Pendant un team building, notre boite nous a proposé un week end dans un charmant chalet. Et une fois la nuit tombée, le team building entre collègue s’est transformé en une soirée estudiantine. L’alcool coulait à flot et tous les gens étaient bourrés même nos patrons. Et c’est là que Didier m’avait fait des avances. Mais je restais très tenace. Après m’avoir supplié pendant des heures, j’ai finalement accepté de flirter avec lui. On s’embrassait et il tripotait mes seins, mais on n’est pas allé plus loin que ça.
De retour au bureau, Didier était trop fasciné par moi qu’il a sorti le grand jeu afin de pouvoir avoir une chance avec moi. Il m’a alors invité à faire un week end avec lui dans un coin charmant. Comme ça va être à ses frais, j’ai accepté la proposition. Pendant ce temps donc, on n’a fait l’amour qu’une seule fois alors qu’il en voulait plus. Je lui ai dit s’il m’aimait ou c’est juste du plaisir charnelle. Il m’a alors répondu qu’il ne cherche pas une relation sérieuse, mais il veut juste avoir une liaison en douce. En sachant ses intentions, j’ai accepté d’être son pote de baise. Mais tout comme arthur, il a fini par craquer car il était tombé follement amoureux de moi. Et par rapport à mes principes, dès que ça sent l’amour, je dégage tout de suite.
J’ai ensuite enchainé les liaisons avec des hommes casés
Après Didier et Arthur, j’ai eu plusieurs liaisons avec d’autres hommes casés. C’était devenue plus qu’une habitude qu’il m’arrivait d’avoir plus de quatre amants en même temps. Au fur et à mesure où le temps avance, ces liaisons que j’avais avec ces hommes devenaient totalement mécaniques. Je n’éprouvais plus de plaisirs à coucher avec eux. Mais ce fantasme de voler les mecs des autres femmes était plus fort que moi que je ne parvenais pas à m’arrêter.
Tout au fond de moi, je suis jalouse des autres épanouie
Quand j’y pense concrètement, je me suis rendue compte que mon désir de piquer les hommes des autres relève de la jalousie. Dans mon ancien couple, je n’avais jamais connu le bonheur. En effet, mon ex était un homme très entreprenant et il me trompait tout le temps. Pour me venger donc, j’ai décidé de priver les autres de ce bonheur que je n’ai jamais eu. Ce n’est pas très correct de ma part, mais c’est comme ça. Actuellement, j’essaie d’avoir une relation stable, mais en vain. Depuis que je suis rentrée dans cette boucle infernale, il m’est quasi impossible de m’en sortir. Pour moi partir à la chasse des maris des autres femmes n’est plus un plaisir, mais c’est devenu totalement une addiction.
A part s’être sentie tomber dans un trou, j’ai aussi quelques regrets, j’aurais dû accepter la proposition d’Arthur ou de Didier. C’étaient des gens sympas et aimables, mais j’ai tout gâché.
