Depuisque j’ai été muté à Londres, Lucas, mon amant, et moi entretenonsune relation à distance. Heureusement, avec lui, il est possible decombiner éloignement et sexualité. Grâce à nos échanges coquins,on entretient la flamme : loin des yeux, près du cœur !
Vendredi soir, je rentre du boulot assez fatigué. Mais la fatigue s’envole aussitôt quand je vérifie l’intérieur de ma boite aux lettres. J’ai reçu ma lettre coquine avec un peu d’avance, normalement, je la reçois le samedi. Je monte dans mon appartement avec hâte, m’installe confortablement sur le canapé et ouvre la lettre. Rien qu’à la vue de l’écriture appliquée et virile de Lucas, mon sexe commence à se gorger de sang. Je savoure chaque mot, c’est comme si son corps chaud et musclé était à côté de moi. Une main fourrée dans le caleçon, je continue ma lecture. Mon Fred, tu n’imagines pas toutes les situations du quotidien qui me fait penser à toi et à nos parties de jambes qui n’en finissent jamais… Le matin, avant de me lever, j’aime t’imaginer nu dans le lit. Avec tes gros doigts, tu joues avec mes couilles, mon sexe se durcit, alors tu disparais sous la couette… Puis, avec ta langue, tu viens lécher mes couilles, mon périnée, mon anus… Tu fais durer le plaisir, et alors que je suis sur le point d’imploser, enfin, tu empoignes mon pénis et tu commences à le sucer goulûment. Avec toi pas de cri de chienne, non, que des râles virils qui m’envahissent de plaisir. Après quelques minutes, je jouis enfin, puis c’est à ton tour de prendre ton pied. Je me retourne et t’offre mon anus que tu pénètres avec ton gros sexe dur. Je ne sais pas qui de nous deux prend le plus de plaisir… Mon réveil sonne… J’ouvre les yeux… Tu n’es plus là ! Reviens-moi.
